Vingt-quatre heures de la vie d’une femme

Une aventure photographique

À l’occasion de l’entrée dans le domaine public de l’œuvre de Stefan Zweig -mort en 1942-, l’un d’entre nous, par ailleurs éditeur, émet l’idée de se saisir du roman «Vingt-quatre heures de la vie d’une femme» comme genèse d’une nouvelle aventure photographique.

Brigitte Kohl, Jean-Pierre Lefèvre, Thierry Moine, Bernard Pharabet, Patrick Rana-Perrier, Corinne Silva, choisissent alors vingt-quatre phrases qu’ils conçoivent comme autant d’arrêts sur images.

Les extraits de l’œuvre littéraire Stefan Zweig font ainsi corps avec chaque tirage. 

L’œuvre photographique contemporaine, déployée sur les murs de la galerie, donne à voir une synthèse de cette nouvelle écrite en 1927, invitant le public à revisiter le texte intégral de Stefan Zweig. 

S’agit-il d’un Photo-roman, d’un Roman-photo…

à suivre !

Remerciements à 

Fabienne R., Fabrice B., Camille R., Nanou, nos modèles.

Anne-Marie B., pour avoir mis en correspondance les extractions de texte françaises et allemandes.

Dossier de présentation ici.

Ci-dessous un texte écrit par David Philippon, photographe, à l'occasion de l'exposition sur les murs de la Médiathèque de la Ricamarie.

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Photographies Rencontres, n’en est pas à ses débuts quant au rapprochement avec la littérature :

    – L’oeil des Mots en 2002 : le poète travaillant sur une photographie, ou le photographe à partir d’un poème

    – Le Postulat, le théôrème et le photographe en 2003

    – Polar à 4 mails en 2008.

Cette fois-ci, l’exercice est abordé d’une toute autre façon. Deux projets, deux manières de «mettre en photographie» la prose de deux auteurs très différents:

– l’un, contemporain rhônalpin, Jean-Noël Blanc – La petite piscine au fond de l’aquarium (Ed. Joëlle Losfeld)

– l’autre, désormais classique, Stefan Zweig – Vingt-quatre heures de la vie d’une femme.

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