Après « De Natura Rerum », « Animalité(s) » et « Mythologie[s] », le collectif Photographies Rencontres propose pour l’Orangerie du Parc de la Tête d’Or un sujet inédit : « Fruits et Légumes ». S’emparer ainsi d’une enseigne commerciale, c’est amusant ; mais pas seulement : le Parc de la Tête d’or n’est certes ni un potager ni un verger, mais assurément
Le collectif Photographies Rencontres a choisi de suivre la frontière entre le visible et l’interprétation.
Vingt auteurs en équilibre sur ce fil, cette ligne qui fixe des limites et qui invite à les franchir.
La figuration est-elle abstraite, l’abstraction est-elle figurative ?
Les photographes auteur.e.s de Photographies Rencontres ont été saisi.e.s par le titre de l’ouvrage posthume de Pierre Sansot : Ce qu’il reste.
La photographie n’est-elle pas, à sa manière, une grande fabrique de restes ? Une tentative désespérée de conservation jusqu’à l’effacement de l’image elle-même ?
Pour la troisième fois, les auteurs de Photographies Rencontres exposent à l’Orangerie du Parc de la Tête d’Or à Lyon Les auteurs d’images de Photographies Rencontres se sont donné un nouveau défi : représenter des êtres, des lieux, des actions par essence imaginaires, ceux qui peuplent les mythes : Poséidon, le dieu Thor, le Cyclope,
" Un hiver, un parisien et son frère, retournent dans le village cantalou de leur père à la suite d'un héritage. A peine arrivés, ils apprennent le décès d'une jeune voisine. C'est le prétexte pour ressortir les vieilles histoires et dévoiler une galerie de portraits des habitants de ce pays finissant imprégné d'alcool et de
La plupart des membres de Photographies Rencontres vivent et travaillent en voisinage avec le Rhône. Ce fleuve en fascine certains, en inspire d’autres qui voient en lui un cordon ombilical nourrissant les terres agricoles, une colonne vertébrale structurant la vie dans la vallée, un axe d’échanges entre nord et sud le long duquel circulent hommes
Les auteurs de Photographies Rencontres ne sont pas les premiers à reprendre le concept d’intranquillité exprimé par l’écrivain Fernando Pessoa.
Ce parcours d’images ouvre une brèche d’imaginaire dans l’espace urbain. Faire des images « intranquilles », c’est laisser paraître l’incertitude, pas nécessairement tragique, mais habitée de questionnements. Être un photographe intranquille, c’est aussi s’interroger…
Une aventure photographique – Acte I
À l’occasion de l’entrée dans le domaine public de l’œuvre de Stefan Zweig -mort en 1942-, l’un d’entre nous, par ailleurs éditeur, émet l’idée de se saisir du roman «Vingt-quatre heures de la vie d’une femme» comme genèse d’une nouvelle aventure photographique.
Brigitte Kohl, Jean-Pierre Lefèvre, Thierry Moine, Bernard Pharabet, Patrick Rana-Perrier et Corinne Silva…
Visions de romans : création photographique inspirée par « La petite piscine au fond de l’aquarium » de Jean-Noël Blanc Photographes : Philippe Accary, Martine Alibert, Valérie Berge, Claire Defosse, Robert Deyrail, Eveline Gallet, Evelyne Rogniat et Pierre Serpol. Après des collaborations avec des poètes – « L’œil des Mots », 2003-2006, huit photographes de Photographies Rencontres se confrontent à un
Axiomes, postulats et théorèmes sont, pour le commun des mortels, la partie émergée du continent ‘Science’. L’abstraction même de leurs énoncés – transparents pour les uns, opaques pour les autres – offre de nombreuses prises à l’imaginaire et à l’incarnation dans une forme poétique. Plusieurs photographes de l’association ont participé à ce projet, exposé
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