
Deux groupes de photographes du collectif Photographies Rencontres se sont emparés de deux romans comme des aventures photographiques, interrogeant le pouvoir de l’image à dialoguer avec un récit romanesque. Le premier roman, Vingt quatre heures de la vie d’une femme de Stefan Zweig (1927), a été, après lecture minutieuse, transformé en un script de vingt-quatre